Artistes engagés depuis plus de quarante-et-un an dans l’espoir de sauver notre planète, nous appuyons l’ONU – UNIDIR, OMS, UNHCR, UNICEF, UNESCO et l’Office de secours et travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, la non-violente et anti-génocidaire UNRWA. De concert avec les organismes favorables au bien commun, nous luttons  

contre les menaces à la santé par les Big Pharmas et les pollutions principalement pétrolières et  

pour la paix menacée par neuf pays et l’Organisation du Traité d’Atlantique-Nord armés de bombes nucléaires et essaimant dans le monde telles les 750 bases militaires des États-Unis. 

Enracinés en un Québec français, vert et laïque, les APLP visent une paix durable, obtenue pacifiquement grâce à 

– l’éducation, la justice sociale (accès au logement), l’équité des femmes et l’Art vecteur de Paix ; 

– notre solidarité avec les Premières Nations qui nous enseignent le respect de la nature ; 

– l’appui chaleureux aux immigréEs, en favorisant leur francisation et ouverture aux réalités féministes et LGBTQIA. 

 

Izabella Marengo partage un moment lyrique adressé aux femmes québécoises  

« Aussi compassionnelles que Mélissa Desormeaux-Poulin dans Mea culpa,  

aussi libres que Marie-Thérèse Fortin dans la pièce Fanny,  

aussi énergiques que Domino Santantonio la batteuse de l’émission Je viens vers toi,  

aussi imaginatives que Diane Dufresne célébrée par l’Arsenal,  

aussi wokes et intelligentes qu’Émilie Nicolas du Devoir,  

aussi solides que Magali Picard de la FTQ,  

aussi distinctes dans leur professionnalisme jamais obséquieux que les journalistes Sophie Langlois, Azeb Wolde-Georghis, Chantal Hébert et Marie-Ève Bédard,  

aussi féministes que Martine Delvaux, Catherine-Anne Toupin et son conjoint Antoine Bertrand, aussi rieuses que Valérie Plante et Mariana Mazza,  

aussi géniales que Marie-Claire Blais reconnue telle par Margaret Atwood et Kev Lambert,  

aussi tenaces que nos Mères au Front Anaïs Barbeau-Lavalette et Laure Waridel…  

Et pour retrouver mon souffle, je vais maintenant aller chercher les modèles de nos lauréates antérieures,  

non seulement nos chères disparues Simonne Monet-Chartrand, Andrée Lachapelle, Kim Yaroshevskaya, Antonine Maillet, Marcelle Ferron et Myra Cree,  

mais nos encore bien vivantes Marie-Claire Séguin, Marquise Lepage, Chloé Sainte-Marie, Annie Roy, Josée Lambert, Pascale Montpetit, Janette Bertrand, reine de notre télévision, Ginette Noiseux de l’Espace GO, Karen Young, Pascale Bussières et l’attachante Christine Beaulieu. 

Et pour finir, je salue une consœur d’Alanis Obomsawin à la vie artistique déployée en différentes sphères, Caroline Monnet, que je cite :  

« Le changement passe souvent par les femmes. Elles sont aux barricades, au premier plan des mouvements sociaux, aussi porteuses de mémoire. »  

Merci à vous et que notre fête commence ! 

On écoute la chanson de Marie-Claire Séguin/Hélène Pedneault « Du pain et des roses » avec au piano notre ancien président Paul Klopstock. » 

 

À la fin de la chanson, Izabella invite Barbara Guy à présenter le Prix hommage de l’année. 

I.M.