Rita Amabili poème Ne tuez pas les enfants, en 5 langues
Par Artistes pour la Paix
Membre du C.A. des Artistes pour la Paix depuis l’été 2024,
Rita écrit en italien et en français : on pourra lui demander la
version en italien de ce si touchant poème qu’il a fait pleurer
des militants pour la paix réunis le 24 novembre à Montréal
pour affirmer le rôle néfaste joué par l’OTAN en Ukraine et en
Palestine. Magie de la poésie.
En remontant à la guerre vécue par son grand père paysan, elle a écrit une biographie sur son père aussi paysan, GUIDO et son grand amour (sa mère), sur ses années solitaires comme immigrant à Montréal avant qu’il puisse faire venir sa famille d’Italie, jusqu’à la naissance de sa toute dernière, l’autrice qui a baigné dans la tendresse d’une famille pauvre mais aux liens unis. PJ.
CERCLE UNIVERSEL DES AMBASSADEURS DE LA PAIX FRANCE / SUISSE
POEMES ET TEXTES DE NOS MEMBRES BONNE RÉFLEXION ET PARTAGEZ !
Votre indulgence pour les traductions merci !
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Rita Amabili Canada
Ne tuez pas les enfants.
N’enseignez pas aux soldats à faire de même
De peur que leurs gestes ne vous hantent pour le reste de votre vie
De crainte que ces jeunes ne soient tachés des laideurs de la guerre
Jusqu’à s’en déformer l’essence et les entrailles par votre faute
Jusqu’à s’en modifier l’humain en eux avant qu’il ne se sauve, effaré.
Ne tuez pas les enfants.
Qui que vous soyez, qui ils soient, ne le faites pas.
Prévenez votre main avant qu’elle ne devienne un monstre
Détournez votre jambe : elle ne doit pas porter le coup
Empêchez votre corps de poser l’acte irréparable
D’outrepasser le respect, de profaner, d’avilir.
Non. Ne tuez pas les enfants
Quelle que soit leur couleur, leur sexe ou leurs yeux.
Quel que soit leur âge.
N’avez-vous pas peur d’en être dénaturé, totalement, à jamais?
Et que deviendrait votre propre progéniture?
Une réalisation tachée, maculée, souillée avant même d’avoir ouvert l’œil?
Ne tuez pas votre chair précisément avant de l’avoir conçue.
Choisissez la paix.
Celle qui fait du bien au cœur.
Celle dont on vous parlait à l’heure où vous étiez enfant vous-même.
A l’école ? Vous n’y êtes pas allé ? À la maison ? Vous n’en aviez pas ?
À l’intérieur de vous alors… Creusez, vous la découvrirez.
L’être humain n’est-il pas fait d’amour?
L’être humain a-t-il oublié de palpiter, scintiller, resplendir, flamboyer, reluire, briller…
Et de finir par aimer ? Aimez. Choisissez la paix.
En vrai tout commence, tout finit par l’amour.
Tenter d’en conjuguer sa vie, la refaire et voir l’enfant pour ce qu’il est: un trésor, un devenir, un recommencement.
Ne tuez pas, ne tuez pas les enfants. S’il vous plait ne soyez pas une épouvantable harpie
Quand vous avez été créé pour ramener à la surface cet altruisme-oxygène
qui nous fait tant défaut. Regardez les petits, retrouvez-vous, en eux.
Soudain courez, courez plus vite que la mort, que la blessure qui heurte.
Courez tant que vous le pouvez, au bout de votre souffle, de votre âme
Courez plus loin que la terreur, courez dépourvu de ceux que vous aimiez
qui frémissent encore d’une vie qu’ils vous ont laissée, tressaillant de sa fin.
Courez, portant le tricot troué de vos espoirs insensés que les Grands,
Demain, écraseront sans pitié de leurs Lois à hauts talons.
Ne tuez pas les enfants.
Ces boutons de roses sur le point d’éclore, salis, meurtris, mais inestimables
À court d’eau, de nourriture et de médicaments. Forts et à la fois chétifs.
Vous leur ressemblez, prenez-en conscience et soyez maudits de leur porter atteinte.
Ne les tuez pas puisque ce faisant vous vous tuez également.
Soyez maudits de leur porter atteint de vous tuer continûment.
Ne tuez pas les enfants. Ne tuez pas les enfants.
Qui que vous soyez, qui ils soient, ne le faites pas.
Sachez partager au-delà de toute animosité, de toute hégémonie
Puisqu’à la fin nous ne sommes plus que cendres.
De quoi aurez-vous l’air quand vous serez gravois et que la haine encore vous guidera?
Ils vous pardonnent même s’ils n’oublient pas.
Ne tuez pas les enfants.
Fractionnez ce pain que vous leur défendez.
La terre en a assez pour chaque vivant. Il est inutile de les en priver.
Qu’aurez-vous l’air quand vous serez gravois et que la haine encore vous guidera?
Ne tuez pas les enfants.
N’enseignez pas aux soldats à faire de même
De peur que leurs gestes ne vous hantent pour le reste de votre vie
De crainte que ces jeunes ne soient tachés des laideurs de la guerre
Jusqu’à s’en déformer l’essence et les entrailles par votre faute.
***
Rita Amabili Canada
Do not kill children.
Do not teach soldiers to do the same
For fear that their actions will haunt you for the rest of your life
For fear that these young people will be stained with the ugliness of war
To the point of deforming its essence and entrails through your fault
To the point of changing the human in them before it runs away, terrified.
Do not kill children.
Whoever you are, whoever they are, do not do it.
Prevent your hand before it becomes a monster
Turn your leg away: it must not strike the blow
Prevent your body from committing the irreparable act
Of overstepping respect, of profaning, of debasing.
No. Do not kill children
Whatever their color, their sex or their eyes.
Whatever their age.
Aren’t you afraid of being denatured, totally, forever?
And what would become of your own offspring?
A stained, smudged, soiled creation before you even opened your eye?
Don’t kill your flesh precisely before you have conceived it.
Choose peace. The one that does good to the heart.
The one you were told about when you were a child yourself.
At school? You didn’t go? At home?
You didn’t have one? Inside you then…
Dig, you will discover it. Isn’t the human being made of love?
Has the human being forgotten to palpitate, sparkle, shine, blaze, glow, shine…
And to end up loving? Love.
Choose peace. In truth everything begins, everything ends with love.
Try to combine your life, remake it and see the child for what it is: a treasure, a future, a new beginning. Don’t kill, don’t kill children.
Please don’t be a terrible harpy
When you were created to bring back to the surface this altruism-oxygen that we lack so much.
Look at the little ones, find yourself, in them.
Suddenly run, run faster than death, than the wound that strikes.
Run as long as you can, at the end of your breath, of your soul
Run further than terror, run deprived of those you loved who still shudder at a life they left you, shuddering at its end.
Run, wearing the holey knit of your insane hopes that the Great Ones,
Tomorrow, will crush without pity with their high-heeled
Laws. Don’t kill children.
These rosebuds about to bloom, soiled, bruised, but priceless
Short of water, food and medicine.
Strong and at the same time puny.
You are like them, realize it and be cursed for harming them.
Do not kill them because in doing so you are also killing yourself.
Be cursed for harming them for killing you continuously.
Do not kill children. Do not kill children.
Whoever you are, whoever they are, do not do it.
Know how to share beyond all animosity, beyond all hegemony
Since in the end we are nothing but ashes.
What will you look like when you are grave and hatred still guides you?
They forgive you even if they do not forget.
Do not kill children. Divide this bread that you forbid them.
The earth has enough for every living thing.
It is useless to deprive them of it.
What will you look like when you are grave and hate still guides you?
Do not kill children. Do not teach soldiers to do the same
Lest their actions haunt you for the rest of your life
Lest these young people be stained with the ugliness of war
To the point of deforming its essence and entrails because of you.
***
Rita Amabili Canadá
No mates a los niños.
No enseñes a los soldados a hacer lo mismo.
No sea que sus acciones te persigan por el resto de tu vida.
Para que estos jóvenes no se manchen con la fealdad de la guerra
Hasta que su esencia y sus entrañas se deformen por tu culpa
Hasta el punto de cambiar al humano que hay en ellos antes de que huya asustado.
No mates a los niños.
Seas quien seas, sean quienes sean, no lo hagas.
Evita tu mano antes de que se convierta en un monstruo
Vuelve la pierna: no debe recibir el golpe.
Evita que tu cuerpo cometa un acto irreparable
Exceder el respeto, profanar, degradar.
No. No mates a los niños
Sin importar su color, género u ojos. I
independientemente de su edad.
¿No tienes miedo de quedar distorsionado, totalmente, para siempre?
¿Y qué sería de tu propia descendencia?
¿Un logro manchado, manchado y sucio incluso antes de abrir los ojos?
No mates tu carne precisamente antes de haberla concebido.
Elige la paz. El que hace bien al corazón.
Del que te hablamos cuando eras niño.
A la escuela? ¿No fuiste allí? En casa? ¿No tenías ninguno?
Dentro de ti entonces… Cava, lo descubrirás.
¿Acaso los seres humanos no están hechos de amor?
¿Se ha olvidado el ser humano de palpitar, centellear, resplandecer, resplandecer, resplandecer, brillar…?
¿Y terminar amando? Amar. Elige la paz.
En verdad, todo comienza y termina con el amor.
Intenta combinar tu vida, rehacerla y ver al niño tal como es: un tesoro, un futuro, un nuevo comienzo.
No mates, no mates a los niños.
Por favor no seas una arpía terrible
Cuando fuiste creado para sacar a la superficie ese altruismo-oxígeno que tanto nos falta.
Mira a los pequeños, encuéntrate en ellos.
Corre de repente, corre más rápido que la muerte, que la herida que te hiere.
Corre todo lo que puedas, al final de tu aliento, de tu alma.
Corre más allá del terror, corre sin aquellos a quienes amaste
y que todavía se estremecen ante una vida que te dejaron, emocionante al final.
Corre, vistiendo el suéter agujereado de tus locas esperanzas de que los Grandes,
el Mañana, aplastarán sin piedad con sus Leyes de tacones altos.
No mates a los niños.
Estos capullos de rosa a punto de florecer, sucios, magullados,
pero invaluables Quedarse sin agua, alimentos y medicinas.
Fuerte y al mismo tiempo débil.
Eres como ellos, date cuenta y estarás maldito por hacerles daño.
No los mates ya que al hacerlo también te matas a ti mismo.
Malditos sean si os hacen matar continuamente.
No mates a los niños. No mates a los niños.
Seas quien seas, sean quienes sean, no lo hagas.
Saber compartir más allá de toda animosidad, de toda hegemonía.
Ya que al final no somos más que cenizas.
¿Cómo te verás cuando estés serio y el odio todavía te guíe?
Te perdonan aunque no te olviden.
No mates a los niños. Partid este pan que de ellos estáis defendiendo.
La tierra tiene suficiente para cada persona viviente.
No tiene sentido privarlos de ello.
¿Cómo serás cuando estés serio y el odio todavía te guíe?
No mates a los niños. No enseñes a los soldados a hacer lo mismo.
No sea que sus acciones te persigan por el resto de tu vida.
Para que estos jóvenes no se manchen con la fealdad de la guerra
Hasta el punto de deformar su esencia y sus entrañas por tu culpa.
***
Rita Amabili Canadá
Não mate crianças.
Não ensine os soldados a fazerem o mesmo
Para que as ações deles não o assombrem pelo resto da vida
Para que esses jovens não sejam manchados pela feiúra da guerra
Até que sua essência e entranhas sejam deformadas por sua culpa
A ponto de mudar o humano neles antes que ele fuja, assustado.
Não mate crianças.
Quem quer que você seja, quem quer que seja, não faça isso.
Evite sua mão antes que ela se torne um monstro
Vire a perna: ela não deve receber o golpe Impeça seu corpo de cometer um ato irreparável
Exceder o respeito, profanar, degradar.
Não. Não mate crianças
Independentemente da cor, sexo ou olhos. Independentemente da idade.
Você não tem medo de ser distorcido, totalmente, para sempre?
E o que seria de sua própria prole?
Uma conquista manchada, manchada e suja antes mesmo de você abrir os olhos? Não mate sua carne precisamente antes de concebê-la.
Escolha a paz. Aquela que faz bem ao coração.
Aquele sobre o qual conversamos com você quando você era criança.
Na escola ? Você não foi lá? Em casa ?
Você não tinha nenhum? Dentro de você então…
Cave, você descobrirá. Os seres humanos não são feitos de amor?
Será que o ser humano se esqueceu de palpitar, cintilar, resplandecer, resplandecer, resplandecer, resplandecer…
E acabar amando? Amor.
Escolha a paz. Na verdade, tudo começa e termina com amor.
Tente combinar sua vida, refazê-la e ver a criança como ela é: um tesouro, um futuro, um novo começo.
Não mate, não mate crianças.
Por favor, não seja uma harpia terrível
Quando você foi criado para trazer à tona esse altruísmo-oxigênio que tanto nos falta.
Olhe para os pequenos, encontre-se neles.
De repente corra, corra mais rápido que a morte, que a ferida que atinge.
Corra o máximo que puder, no final do seu fôlego, da sua alma
Corra além do terror, corra desprovido daqueles que você amou, que ainda estremecem com uma vida que lhe deixaram, emocionante no seu final.
Corra, vestindo o suéter furado de suas esperanças insanas
de que os Grandes, Amanhã, esmagarão impiedosamente com suas Leis de salto alto.
Não mate crianças.
Esses botões de rosa prestes a florescer, sujos, machucados, mas de valor inestimável
Ficando sem água, comida e remédios.
Forte e ao mesmo tempo fraco.
Você é como eles, perceba isso e seja amaldiçoado por prejudicá-los.
Não os mate, pois ao fazer isso você também se mata.
Seja amaldiçoado se eles fizerem com que eles matem você continuamente.
Não mate crianças. Não mate crianças.
Quem quer que você seja, quem quer que seja, não faça isso.
Saiba compartilhar além de toda animosidade, de toda hegemonia
Já que no final não somos nada além de cinzas.
Como você ficará quando estiver sério e o ódio ainda o guiar?
Eles te perdoam mesmo que não esqueçam.
Não mate crianças.
Parta esse pão que você está defendendo deles.
A terra tem o suficiente para cada pessoa viva.
Não faz sentido privá-los disso.
Como você será quando estiver sério e o ódio ainda o guiar?
Não mate crianças.
Não ensine os soldados a fazerem o mesmo
Para que as ações deles não o assombrem pelo resto da vida
Para que esses jovens não sejam manchados pela feiúra da guerra
A ponto de deformar sua essência e seu interior por culpa sua.
***
Рита Амабили Канада
Не убивайте детей.
Не учите солдат делать то же самое
Чтобы их действия не преследовали вас всю оставшуюся жизнь.
Чтобы эти молодые люди не были запятнаны ужасами войны.
Пока его сущность и внутренности не деформируются по твоей вине
Вплоть до того, что изменили в них человека, прежде чем он испуганно убежал.
Не убивайте детей.
Кем бы вы ни были, кем бы они ни были, не делайте этого.
Предотвратите свою руку, прежде чем она станет монстром
Отверни ногу: она не должна выдержать удар Остановите свой организм
от совершения непоправимого поступка
Превысить уважение, осквернить, унизить. Нет.
Не убивайте детей
Независимо от их цвета, пола или глаз.
Независимо от их возраста.
Не боишься ли ты быть искаженным, тотально, навсегда?
А что станет с вашим потомством?
Запятнанное, запятнанное, запятнанное
достижение еще до того, как ты откроешь глаза?
Не убивайте свою плоть прежде, чем вы ее зачали.
Выбирайте мир. Тот, который приносит сердцу пользу.
Тот самый, о котором мы с тобой говорили, когда ты сам был ребенком.
В школе ? Ты не туда ходил? Дома ?
У тебя их не было? Тогда внутри тебя…
Копай, и ты это обнаружишь.
Разве люди не созданы из любви?
Неужели человек забыл трепетать, сверкать, сиять, сверкать, светиться, сиять… И в конечном итоге полюбить?
Любовь. Выбирайте мир.
По правде говоря, все начинается и заканчивается любовью.
Попробуйте соединить свою жизнь, переделать ее и увидеть ребенка таким, какой он есть: сокровищем, будущим, новым началом.
Не убивайте, не убивайте детей.
Пожалуйста, не будь ужасной гарпией Когда вы были созданы, чтобы вывести на поверхность
тот альтруизм-кислород, которого нам так не хватает.
Посмотрите на малышей, найдите себя в них.
Внезапно беги, беги быстрее смерти, чем раны, которая нанесёт удар.
Беги так долго, как можешь, на исходе дыхания, души.
Бегите дальше ужаса, бегите без тех, кого вы любили,
кто все еще содрогается от жизни, которую они вам оставили, волнующей ее конец.
Бегите, надев дырявый свитер своих безумных надежд, что
Великие Завтра беспощадно раздавят своими Законами на высоких каблуках.
Не убивайте детей.
Эти бутоны роз вот-вот распустятся, грязные, помятые,
но бесценные. Кончается вода, еда и лекарства.
Сильный и в то же время слабый.
Вы похожи на них, осознайте это и будьте прокляты, если причините им вред.
Не убивайте их, поскольку при этом вы убиваете и себя.
Будь проклят, если они заставят их постоянно убивать тебя.
Не убивайте детей. Не убивайте детей.
Кем бы вы ни были, кем бы они ни были, не делайте этого.
Умейте делиться, преодолевая всякую враждебность и всю гегемонию.
Поскольку в конце концов мы — не что иное, как пепел.
Как ты будешь выглядеть, когда ты серьезен и ненависть все еще руководит тобой?
Они прощают тебя, даже если не забывают.
Не убивайте детей.
Разломите этот хлеб, который вы защищаете от них.
На Земле этого достаточно для каждого живого человека.
Лишать их этого нет смысла.
Как ты будешь выглядеть, когда будешь серьезным
и ненависть все еще будет руководить тобой?
Не убивайте детей. Не учите солдат делать то же самое
Чтобы их действия не преследовали вас всю оставшуюся жизнь.
Чтобы эти молодые люди не были запятнаны ужасами войны.
Вплоть до деформации его сути и его внутренностей по вашей вине.
C’est la qualité universelle du poème qui a imposé sa publication dont nous sommes fiers.
Et un grand merci pour nous avoir envoyé une sixième version, celle dans la langue de ton père!
NON UCCIDETE I BAMBINI.
Non insegnate ai soldati a fare Io stesso
Per paura che i Ioro gesti vi perseguitino per il resto della vostra vita Perché questi giovani non vengano macchiati con la bruttezza della guerra Fino a esserne deformati neII’essenza e nelle viscere
Per colpa vostra
AI punto da cambiare l’umano che c’è in loro prima che se ne scappino, spavenati.
Non uccidete i bambini.
Chiunque voi siate, chiunque siano loro, non fatelo. Ferma.te la vostra mano prima che diventi un mostro Girate la gamba: non dovrebbe portare il colpo.
Impedite al vostro corpo di rivolgere l’atto irreparabile Di agire oltre il rispetto, di profanare, di degradare.
NO. Non uccidete i bambini
Qualunque sia il Ioro colore, il Ioro sesso e quali che siano i Ioro occhi.
Qualunque sia la loro età. Non avete paura di esserne snaturati totalmente, per sempre7
E cosa ne sarebbe della vostra prole?
Una realizzazione col.pita,. macchiata e coritaminaa prima ancora di avere aperto l’occhio7 Non uccidete la vostra carne prima di averla progettata portata in grembo.
Scegliete la pace. Quella che fa bene al cuore
Quella di cui stavamo parlando al momento in cui eravate voi stessi un bambino.
A scuola non ci siete andab7 In casa non ne avevate7
Dentro di voi allora … scavate, lo scoprirete.
L’essere umano non è faQo d’amore? L’essere umano ha dimendcato Di palpitare, scintillare, brillare, risplendere, lucidare, illuminare …
E finire per amare7 Amate. Scegliete la pace. Davvero tutto inizia,
Tutto finisce con l’amore. Cercare di combinare la sua v”ita, di rifarla e di vedere il bambino
Per quello che è: un tesoro, un divenire, un riavvio. Non uccidete,
Non uccidete i bamb.ini. Per favore, non siate un’arpia terribile
Quando siete stati creati per portare questo altruismo-ossigeno in superficie Che tanto ci manca. Guardate i più piccoli, r“itrovatevi in Ioro.
Improwisamente correte, correte più veloci della morte, più veloci dell’infortunio che vi ha colpito. Correte il più a Iungo possibile, alla fine del vostro respiro, della vostra anima
Correte oltre il terrore, correte senza quelli che amavate
Che rabbrividirono ancora d*una vita che vi hanno Iasciato, tremando alla fine. Correte indossando il maglione bucato delle vostre speranze assurde
Che domani i Grandi schiacceranno senza pietè sotto i tacchi alti delle Ioro legg’i.
Non uccidere i bambini.
Questi polloni di rosa sul punto di schiudersi, sporchi, contusi, ma inestimabili A corto di acqua, cibo e medicine. Forti e insieme deboli.
Assomigliate a Ioro, siate consapevoli e siate maledetti se arrecate Ioro danno. Non uccideteli dal momento che facendolo ucciderete voi stessi
Siate maledetti se arrecate Ioro danno, se li uccidete continuamente.
Non uccidete i bambini. Non uccidete i bambini. Chiunque voi siate, chiunque siano Ioro, non fatelo.
Sappiate condividere al di là di ogni animosità, di qualsiasi egemonia Perché alla fine siamo solo cenerì
Cosa guarderete quando sarete sabbia E l’odio vi guiderà ancora?
Vi perdonano anche se non dimenticano Non uccidete i bambini.
Frazionate questo pane che difendete per Ioro
La terra ne ha abbastanza per ogni vita. Non è necessario privarli. Cosa guarderete quando sarete sabbia
E l’odio vi guiderà comunque7
Non uccidete i bambini.
Non insegnate ai soldati a fare lo stesso
Per paura che i Ioro gesti vi perseguitino per il resto della vostra vita
Per paura che questi giovani vengano macchiati dalla bruttezza della guerra AI punto da esserne deformati neIl’essenza e nelle viscere per colpa vostra.
AI punto da cambiare l’umano che c’è in loro prima che se ne scappino, spaventati
@ritaamabili
Traduzione rivista e correla da Carlo Dariol
Bravo et félicitations!
Poème éloquent et émouvant, plein d’humanité.
Merci Brahim, c’est tres apprecie!
LE CERCLE UNIVERSEL DES AMBASSADEURS DE LA PAIX FRANCE / SUISSE NOUS ENVOIE LE 18 MARS
DES POEMES DE DEUX DE NOS MEMBRES : RÉFLEXION ET PARTAGE !
Votre indulgence pour les traductions merci !
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Gloria Rios Ayzú México
Canción para los niños de Palestina
Quisiera escribir la canción más bonita,
pero sólo encuentro dolor en mis versos.
Me duele la impotencia de no poder cambiar el destino
de los niños de Palestina, del terror que en su psique quedará;
energía del miedo, jamás experimentada en décadas.
Niños que serán adultos
y fueron testigos de la guerra,
sin que ellos tuvieran que ver en las decisiones de los líderes
llenos de odio, viviendo en su burbujas;
creen que entre más inocentes mueran
más humillación verán.
¿Hasta dónde el odio no deja que la luz de la conciencia llegue?
Habría que preguntarnos
¿Qué es lo que hemos provocado?
¡con una paz que no llega,
con una paz que vive de las guerras!
Los niños de Palestina una patria merecen, una niñez feliz,
porque tienen derecho a la educación y al juego,
porque tienen derecho a la vida,
al hogar seguro y digno,
como todos los demás niños del mundo.
Las guerras generan más odio, tristeza y desolación.
A veces reflexiono, que el opresor lo que quiere
es una niñez dolida
y traumatizada, para que sigan alimentando el odio,
para que la guerra nunca termine.
¡Qué terrible es la guerra!
y pensar que los que la aceptan
son gente desalmada,
psicópatas que florecen del maltrato, la violación, el trauma.
Los niños de Palestina no merecen estar viviendo el pánico
de los tanques de guerra, ni el sonido de las bombas.
No merecen el horror de vivir en una tierra de nadie.
Los niños de Palestina merecen un jardín de flores,
en lugar de un campo de escombros.
Merecen saber que no están solos,
que hay gente que los ama con caridad esperanza y fe.
Necesitan los niños de Palestina
más amor de la humanidad.
***
Gloria Rios Ayzú Mexique
Chanson pour les enfants de Palestine
J’aimerais écrire la plus belle chanson,
mais je ne trouve que de la douleur dans mes vers.
Je ressens la douleur de ne pas pouvoir changer le destin.
des enfants de Palestine, de la terreur qui restera dans leur psyché ;
une énergie de peur jamais ressentie depuis des décennies.
Les enfants qui seront adultes
et j’ai été témoin de la guerre,
sans qu’ils aient quoi que ce soit à voir avec les décisions des dirigeants
plein de haine, vivant dans leur bulle ;
Ils croient que plus les innocents meurent,
Tu verras encore plus d’humiliation.
Jusqu’où la haine empêche-t-elle la lumière de la conscience de nous atteindre ?
Nous devrions nous demander
Qu’avons-nous causé ? avec une paix qui ne vient jamais,
avec une paix qui vit des guerres !
Les enfants de Palestine méritent une patrie, une enfance heureuse,
parce qu’ils ont droit à l’éducation et au jeu,
parce qu’ils ont droit à la vie, à un foyer sûr et digne,
comme tous les autres enfants du monde.
Les guerres génèrent plus de haine, de tristesse et de désolation.
Parfois je me dis que l’oppresseur veut ce qu’il veut
C’est une enfance douloureuse
et traumatisée, afin qu’ils continuent d’alimenter la haine,
pour que la guerre ne finisse jamais.
Que la guerre est terrible !
et de penser que ceux qui l’acceptent
Ce sont des gens sans cœur,
les psychopathes qui prospèrent grâce aux abus, aux viols, aux traumatismes.
Les enfants palestiniens ne méritent pas de vivre dans la panique
des chars de guerre, ni le bruit des bombes.
Ils ne méritent pas l’horreur de vivre dans un no man’s land.
Les enfants de Palestine méritent un jardin de fleurs,
au lieu d’un champ de débris.
Ils méritent de savoir qu’ils ne sont pas seuls,
qu’il y a des gens qui les aiment avec charité, espérance et foi.
Les enfants de Palestine ont besoin de
plus d’amour de la part de l’humanité.
***
Gloria Rios Ayzú Mexico
Song for the Children of Palestine
I would like to write the most beautiful song,
but I only find pain in my verses.
I feel the pain of not being able to change the destiny.
of the children of Palestine, of the terror that will remain in their psyche;
an energy of fear never felt for decades.
The children who will be adults and I have witnessed the war,
them having anything to do with the decisions of the leaders full of hate,
living in their bubble; They believe that the more innocents die,
You will see even more humiliation.
How far does hatred prevent the light of conscience from reaching?
We should ask ourselves what have we caused.
with a peace that never comes, with a peace that lives on wars!
The children of Palestine deserve a homeland, a happy childhood,
because they have the right to education and play,
because they have the right to life, to a safe and dignified home,
like all the other children in the world.
Wars generate more hatred, sadness and desolation.
Sometimes I think that the oppressor wants
What he wants It is a painful childhood and traumatized,
that they continue to feed hatred, so that the war never ends.
How terrible war is! and to think that those who accept it
They are heartless people, psychopaths
who thrive on abuse, rape, trauma.
Palestinian children do not deserve to live in the panic of war tanks,
nor the noise of bombs.
They do not deserve the horror of living in a no man’s land.
The children of Palestine deserve a garden of flowers,
of a field of debris.
They deserve to know that they are not alone,
That there are people who love them with charity, hope and faith.
Children of Palestine need more love from humanity.
***
Gloria Rios Ayzu México
Canção para as crianças da Palestina
Eu gostaria de escrever a canção mais bonita,
mas só encontro dor em meus versos.
Sinto a dor de não poder mudar o destino.
filhos da Palestina, do terror que permanecerá em sua psique;
uma energia de medo não sentida há décadas.
Crianças que serão adultos e eu testemunhei a guerra,
sem ter nada a ver com as decisões dos líderes cheios de ódio,
vivendo em sua bolha;
Eles acreditam que quanto mais pessoas inocentes morrem,
Você verá ainda mais humilhação.
Até onde o ódio impede que a luz da consciência chegue?
Deveríamos nos perguntar O que causamos?
com uma paz que nunca chega, com uma paz que vive de guerras!
As crianças da Palestina merecem uma pátria, uma infância feliz,
porque têm direito à educação e à brincadeira,
porque têm direito à vida, para um lar seguro e digno,
como todas as outras crianças do mundo.
As guerras geram mais ódio, tristeza e desolação.
Às vezes penso que o opressor quer o que quer.
É uma infância dolorosa e traumatizados,
para que continuem a alimentar o ódio,
para que a guerra nunca acabe.
Quão terrível é a guerra! e pensar que aqueles que o aceitam
Eles são pessoas sem coração,
psicopatas que prosperam em abuso, estupro, o trauma.
As crianças palestinas não merecem viver em pânico tanques de guerra,
nem o barulho de bombas.
Eles não merecem o horror de viver em uma terra de ninguém.
As crianças da Palestina merecem um jardim de flores,
em vez de um campo de destroços.
Eles merecem saber que não estão sozinhos,
que há pessoas que os amam com caridade, esperança e fé.
As crianças da Palestina precisam mais amor da humanidade.
***
Глория Риос Айзу Мексика
Песня для детей Палестины
Я хотел бы написать самую красивую песню,
но в моих стихах я нахожу только боль.
Я чувствую боль от того, что не могу изменить судьбу.
дети Палестины, об ужасе, который останется в их психике;
энергия страха, не ощущавшаяся десятилетиями.
Дети, которые станут взрослыми и я был свидетелем войны,
не имея никакого отношения к решениям
лидеров полные ненависти, живущие в своем пузыре;
Они считают, что чем больше невинных людей погибнет,
Вы увидите еще большее унижение.
Насколько далеко ненависть препятствует свету совести?
Мы должны спросить себя Что мы натворили?
с миром, который никогда не наступит, с миром, живущим за счет войн!
Дети Палестины заслуживают родину,
счастливое детство, потому что они имеют право на образование и игру,
потому что они имеют право на жизнь,
в безопасный и достойный дом,
как и все остальные дети в мире.
Войны порождают еще больше ненависти, печали и отчаяния.
Иногда мне кажется, что угнетатель хочет того, чего он хочет.
Это было тяжелое детство.
и травмированы, поэтому они продолжают разжигать ненависть,
чтобы война никогда не кончилась.
Как ужасна война! и думать, что те, кто это принимает,
Они бессердечные люди, психопаты,
которые процветают за счет насилия,
изнасилования, травма. Палестинские
дети не заслуживают жить в панике ни шума боевых
танков, ни грохота бомб.
Они не заслуживают ужаса жизни на нейтральной территории.
Дети Палестины заслуживают цветника, вместо поля обломков.
Они заслуживают знать, что они не одиноки.
что есть люди, которые любят их с милосердием,
надеждой и верой.
Дети Палестины нуждаются больше любви от человече
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Didier Colpin France
GLACIAL DÉTACHEMENT…
Dans une Tour d’ivoire
Se pavane l’Histoire
Indifférente au sang
Au sort de l’innocent…
Un Soldat se remplace
La mort reste vorace
La terre et sa froideur
Ne manquent pas d’ardeur…
Maudite soit la guerre
Elle est toujours vulgaire
Trop de rouges moissons
Aux bien vaines leçons…
Pseudos ‘grandes’ victoires
-Que des réquisitoires-
Sans culpabilité
Insensibilité…
***
Didier Colpin France
GLACIAL DETACHMENT…
In an Ivory Tower
History struts Indifferent to blood
To the fate of the innocent…
A Soldier replaces himself
Death remains voracious
The earth and its coldness
Do not lack ardor…
Cursed be war It is always vulgar
Too many red harvests
To the very vain lessons…
Pseudo ‘great’ victories
-Only indictments- Without guilt Insensitivity…
***
Didier Colpin Francia
DESPRENDIMIENTO GLACIAL…
En una torre de marfil
La historia se pavonea Indiferente a la sangre
Al destino de los inocentes…
Un soldado se reemplaza a sí mismo
La muerte sigue voraz La tierra y su frialdad
No les falta ardor…
Maldita sea la guerra
Ella sigue siendo vulgar
Demasiados tintos de cosecha
A las lecciones muy vanas…
Victorias pseudo-grandes
-Solo acusaciones-
Sin culpa Insensibilidad…
***
Didier Colpin França
DESCOLAMENTO GLACIAL…
Em uma torre de marfim
A história se destaca
Indiferente ao sangue
Ao destino dos inocentes…
Um Soldado Se Substitui
A morte continua voraz
A terra e sua frieza
lhes falta ardor…
Maldita seja a guerra
ainda é vulgar
Muitos tintos de colheita
Às lições muito vãs…
Vitórias pseudo ‘
-Apenas acusações
– Sem culpa Insensibilidade…
***
Дидье Колпен Франция
ОТРЫВ ЛЕДНИКА…
В башне из слоновой кости
стойки Равнодушен к крови За судьбу невинных…
заменяет себя
Смерть остается прожорливой
Земля и ее холод
Им не хватает пыла…
проклята война
Она все еще вульгарна
Слишком много красных вин урожая
К очень тщетным урокам…
Псевдо «великие» победы
-Только обвинительные заключения
– Без чувства вины Бесчувственность…