Une manifestation contre le bombardement de la Syrie par l’administration Trump aura lieu dimanche 9 avril à partir de 14 heures. Le rassemblement est prévu autour de la statue de Norman Bethune, à l’angle des rues Guy et de Maisonneuve à Montréal (métro Guy-Concordia).
Trois artistes honorés par les APLP
Les Artistes pour la Paix ont célébré la remise annuelle de leurs Prix à l’Hotel de ville de Montréal, le vendredi 7 février. Les lauréats en sont l’artiste multi-disciplinaire René Derouin, APLP de l’année, feu André Mélançon, Hommage à titre posthume, et Janette Bertrand, pour l’ensemble de son implication.
La cérémonie annuelle des Prix des Artistes pour la Paix aura lieu le 7 avril
Le 7 avril 2017, aura lieu pour la seconde fois à l’Hôtel de Ville de Montréal la traditionnelle remise annuelle des Prix des Artistes pour la Paix en présence du maire de l’arrondissement de Pierrefonds, Dimitrios Beis, et du Maire de Montréal, Denis Coderre, membre de l’association internationale des Maires pour la Paix (Mayors For Peace, basés à Hiroshima).
Canada : 40 ans d’initiatives, 20 ans d’inertie
Le Canada de Trudeau a décidé de faire confiance à Kim Jung-un, Vladimir Poutine et Donald Trump pour la paix nucléaire. Si VOUS entretenez un doute, relayez ce texte à votre député ou ministre d’ici le 27 mars ! Car c’est ce lundi que l’ONU entamera le processus de négociation d’un instrument juridiquement contraignant visant à interdire les armes nucléaires !
Newroz 2017 et Journée contre la discrimination (ONU)
Le 21 mars dès 19 heures à Laval, débutait la fête Kurde du Newroz (prononcer névrose !) dont l’origine se perd dans un passé nébuleux zoroastre saluant le printemps, sorte d’équivalent, avec le symbole du feu très présent, de la Saint-Jean Baptiste par laquelle les Québécois saluent l’été.
Alanis Obomsawin reçoit le Prix Origine
La cinéaste Alanis Obomsawin, récipiendaire du Prix hommage des APLP 2015, a reçu le Prix Origine de la Ville de Montréal. Chaque année, depuis 2011, des Montréalaises sont honorées «en reconnaissance de leur contribution exceptionnelle au développement de la métropole», a indiqué le cabinet du maire et du comité exécutif.
Kakehashi : un mouvement de paix
Sylva Balassanian a représenté les Artistes pour la paix, lors de la rencontre entre de jeunes élèves venus de Hiroshima en échange à Montréal avec ceux de l’école de Ville Saint-Laurent (Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys), dans le cadre du programme Kakehashi, mouvement de paix.
Sondages des canadiens et québécois sur leurs valeurs
À force de sondages, Radio-Canada va bien finir par poser les deux questions fondamentales évitées jusqu’à présent par tous nos médias : l’accroissement exponentiel du phénomène de l’immigration, cause de la montée du populisme raciste et de l’islamophobie, a-t-il OUI ou NON pour origines les guerres des États-Unis en Irak, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ? L’armée canadienne et nos industries d’armement peuvent-ils imposer par la force un modèle de « valeurs canadiennes » au reste du monde ?
M. Trudeau, que voulez-vous dire par «valeurs canadiennes»?
Dès qu’il en a l’occasion, le premier ministre Justin Trudeau serine le même refrain : « je vais être clair dans ma défense et dans ma promotion de valeurs canadiennes ». Mais quel message concret faut-il comprendre ? Nul ne le sait. Plusieurs questions restent en suspens. Il laisse la porte ouverte à mille interprétations…
Pétition à la ministre Freeland
Le conseil d’administration des Artistes pour la Paix réuni le 7 mars sous la présidence de domlebo et augmenté de Judi Richards et des cinéastes Martin Duckworth (APLP2002) et Malcolm Guy (à qui ont été confiées les feuilles dûment signées), a vu chacun de ses membres présents endosser la PÉTITION suivante, rédigée par le Réseau […]
Le Canada élude la question du désarmement nucléaire
Les lecteurs de l’Aut’Journal connaissent peut-être l’origine des Artistes pour la Paix en 1983 à partir du mouvement mondial des Performing Artists for Nuclear Disarmament présidés par Liv Ullman et Harry Belafonte. Mais ont-ils entendu parler de la courte cérémonie de commémoration du bombardement de Nagasaki à l’UQAM en début août dernier, organisée par le Forum Social Mondial, à laquelle madame Laverdière avait assisté ?
Choisir le développement international contre le militarisme
Le titre dénonce le côté schizophrène du nouveau gouvernement canadien, qui généreux dans son accueil des réfugiés, se croit forcé, par l’arrivée de Trump au pouvoir, d’investir massivement dans l’OTAN et le NORAD, plutôt que dans les missions de paix de l’ONU. D’une part, l’état-major de l’armée canadienne, influencé par le militarisme USA qui a (dé)formé plusieurs de ses membres, acquiert au prix fort des Superhornets américains. N’a-t-on rien appris, après avoir gaspillé plus d’une douzaine de milliards de $ en dix ans pour des sorties militaristes catastrophiques, chiffre qui ne comprend pas les milliards à l’armement?
Arrival, de Denis Villeneuve : un grand film sur la paix
En se disant « sonné, ce qui ne m’arrive pas si souvent », voici ce qu’écrit l’urgentologue Alain Vadeboncoeur sur le film Arrival : « C’est un film remarquable, en boucle, avec de multiples niveaux de lecture, mettant en tension les uns avec les autres des aspects fondamentaux de la réalité : le langage et ses barrières, la relation au temps et à l’avenir, la vie, le destin et la mort. Denis Villeneuve est un cinéaste d’exception. »
Deux pharisiens ?
La lutte contre l’islamophobie, motion libérale à la Chambre des Communes, pourrait n’être que de l’opportunisme politique, si elle ne nous fait pas remettre en question nos liens (pétrole vs blindés) avec l’Arabie saoudite salafiste qui finance les djihadistes. Trudeau a envoyé prioritairement son ministre de la Défense à Trump & à son vice-président Pence qui lui est très pro-OTAN. Serait-ce pour les amadouer que le Canada s’enligne vers un gaspillage de milliards de $ en bombes islamophobes sur la tête des musulmans modérés ? Quel éditorialiste dénonce ces horreurs militaristes ?
Kim Phuc, éternel symbole anti-guerre
Nous entrions dans un monde où tout semblait à risque, dont toutes les zones seraient interdites, celles même que nous fréquentions chaque jour, où nous nous aventurerions au péril de notre vie : je me retournais à tous les coins de rue pour voir si des bouffées de napalm, d’agent orange ou d’autres gaz toxiques suffocants ou défoliants ne me suivaient pas… en une menace de chaque instant, où je pourrais être à découvert, cible mouvante des B52 de l’aviation ennemie.