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Bye bye 2021 en éclats intelligents de rire

Guylaine Tremblay fut l’incontestée étoile de ce Bye bye, tour à tour en nounoune infirmière vaccinante, en Anne Casabonne confuse, en colérique Julie Payette, en Hélène Bourgeoys-Leclerc exaltée et en ses plus incroyables et bidonnantes métamorphoses : l’entraîneur du Canadien Ducharme et Guillaume Le Titviarge avec ses arguments croches d’attente d’un vaccin québécois, à bord d’une Hiundé peu québécoise.

De tous les créateurs que j’ai connus, Jean-Marc Vallée est sûrement le plus obstiné et le plus têtu

Pour un homme comme lui, les anglophones emploient le mot « dedicated ». Je pourrais donc écrire que Vallée était un créateur « dédié », mais ce mot ne le définirait pas aussi bien que le mot anglais. Il y a quelque chose de mystique dans « dedicated », comme il y avait chez Vallée un attachement quasi religieux pour le cinéma.

Lettre au premier ministre Trudeau : Poursuite des exportations d’armes vers l’Arabie saoudite

La lettre qui suit a été produite par une coalition ad hoc opposée à la vente d’armes à l’Arabie saoudite. Elle vise à protester contre la poursuite des exportations d’armes du Canada vers l’Arabie saoudite, alors qu’il y a de sérieuses indications que ces armes sont notamment utilisées dans la guerre au Yémen, où sévit toujours une des pires crises humanitaires sur la planète.

Libérons l’eau de la Bourse : La valeur n’est pas un prix

« La valeur n’est pas un prix : nous voulons l’eau comme bien commun public dans le monde entier et en dehors de la Bourse ». En seulement 15 jours, près de 50 000 femmes et hommes ont apposé leur signature, en Italie seulement, pour renverser les croyances culturelles et sociales et les choix économiques et politiques qui prévalent aujourd’hui.

Pétition : Libérons l’eau de la Bourse !

L’entrée en bourse et la monétisation de l’eau va à l’encontre de la résolution de l’Assemblée générale des Nations-unies de 2010 qui reconnaît l’eau comme un bien commun et un droit universel humain. Comment peut-on laisser des sociétés privées s’approprier une ressource commune au détriment d’un accès universel reconnu et adopté par les Nations Unies ?