La guerre, hélas, n’a pas le monopole des morts. Aux pertes de la paix, comptons « avec ma gueule de métèque, de juif errant, de pâtre grec » Moustaki, qui a choisi de s’appeler Georges, en hommage à son mentor Brassens dont il épousait le non-alignement politique, l’irreligion et la douce anarchie pacifiste. Saluons son ouverture pionnière à Félix Leclerc et aux musiques du monde des Théodorakis, Piazzolla et compositeurs métissés brésiliens. Sylva Balassanian qui a chanté sur la même scène que lui est en deuil de cet homme généreux.
Georges Moustaki
30 mai 2013Ecrit par Artistes pour la Paix
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