Centrale nucléaire Gentilly-2, fracturation du schiste pour en extraire le gaz et le pétrole (Anticosti), mines d’uranium en territoire Cri (Matoush), amiante (Mines Jeffrey) = dangers qui ne valent pas leur chandelle économique! Parti Vert, Option nationale, Québec Solidaire et Parti Québécois l’ont compris.
Chers amis,
la prise de position électorale des Artistes pour la Paix, véhiculée par notre site, par l’Aut’ Journal et dimanche dernier par les Ami-es du Monde Diplomatique et que je reproduis encore ci-dessous même si les lecteurs de notre site l’avaient lue dès le 17 août, a pu contribuer, je pense, à la décision du PQ d’éclaircir sa position sur l’amiante hier en conférence de presse (28 août): il a déclaré qu’il retirerait le chèque gouvernemental libéral de 58 millions de $ aux mines Jeffrey. J’ai envoyé aujourd’hui 29 août un courriel de remerciements en notre nom à tous et toutes au Dr Réjean Hébert (futur ministre de la Santé?) et à Daniel Breton (futur ministre des Ressources Naturelles?), remerciements parce qu’ils sauveraient ainsi la vie de milliers d’Indiens et d’Indonésiens victimes d’amiantose.
Mais pour tempérer ces accès de partisanerie qui ne ressemblent pas aux Artistes pour la Paix et qui se fient à des sondages encore à confirmer, je vous recommande la lecture de le gouvernement invisible de Dominic Champagne. Il a lancé ce pamphlet lundi en présence de beaucoup d’artistes et écologistes dont notre président Daniel-Jean Primeau et le signataire de ce mot. Amir Khadir et Daniel Breton étaient présents, respectivement de Québec Solidaire et du Parti Québécois.
Me donnerez-vous aussi la permission de reproduire une lettre de divers chrétiens d’inspiration féministe (cela existe, n’est-ce pas Marco Veilleux et notre cher membre Dominique Boisvert?), lettre que j’ai eu l’honneur de contresigner dans le Devoir d’hier sur Pauline Marois? Je ne voudrais surtout pas influencer votre vote, car je l’ai contresignée avec l’espoir de préparer la voie pour Françoise David et toute autre candidate valable dans le futur. Et je manquerais singulièrement de modestie et de fair play en ne reconnaissant pas à Jean Charest d’avoir apporté sa contribution à de telles prises de position par la parité hommes-femmes de son premier cabinet de ministres, avant que les Nathalie Normandeau et Line Beauchamp ne quittent le navire, chassées par des scandales pourtant autant, sinon plus dommageables pour certains de leurs pairs masculins… _____________________________________________________________________
Prendre parti dans une campagne électorale provinciale représente pour les Artistes pour la Paix une première, justifiée par des enjeux environnementaux cruciaux avec des compagnies irresponsables et politiquement connectées qui menacent la santé et la vie, même, des Québécois.
Présidés par le sculpteur Daniel-Jean Primeau, les APLP qui ont pour présidents d’honneur Antonine Maillet et Richard Séguin seront en assemblée générale annuelle le 17 septembre à 19h au Théâtre de Quat’ Sous (avenue des Pins). Fondés en 1984 à la suite de spectacles de Gilles Vigneault, Raoûl Duguay, Margie Gillis, Yvon Deschamps et Judi Richards notamment, ils se joignirent alors aux éphémères Performing Artists for Nuclear Disarmament présidés à l’international par Liv Ullman et Harry Belafonte.
Depuis 1988, à chaque Saint-Valentin, on célèbre des APLP de l’année : pour les six dernières, Dominic Champagne, Pascale Montpetit, Chloé Sainte-Marie, l’ATSA, Dan Bigras et Wajdi Mouawad. On a aussi rendu hommage, par exemple à Frédéric Back, Hélène Pednault et Raymond Lévesque.
Voici notre position électorale 2012 :
Élections: pour votre sécurité, ne votez ni CAQ ni surtout LIBÉRAL
Le PARTI LIBÉRAL du Québec semble désuni sur la question nucléaire : si d’une part, le ministre de l’Environnement, Pierre Arcand, a déclaré en février qu’il valait mieux pour la sécurité environnementale et économique des Québécois ne pas poursuivre l’aventure nucléaire, par contre, son chef Jean Charest l’a contredit depuis, en déclarant vouloir investir dans le dangereux projet de réfection de la centrale nucléaire Gentilly-2, malgré les risques sismiques non négligeables (lire le rapport UHS 2011 préparé par une sismologue reconnue, la Dr Gail Marie Atkinson, professeure à l’University of Western Ontario, disponible à la Commission canadienne de sûreté nucléaire). D’autre part, le parti libéral appuie unanimement le plan Nord qui prévoit l’exploitation minière d’uranium dans les monts Otish (Matoush) contre la volonté Crie réclamant comme nous un moratoire pan-québécois sur la question. En outre, le chef libéral a pris la décision irresponsable d’émettre un chèque de 58 millions de $ aux mines Jeffrey pour investir dans l’amiante, produit cancérigène contre lequel tous les pays du monde légifèrent tour à tour. Les libéraux, malgré le moratoire instauré, appuient dans les faits la technique irresponsable de fracturation du schiste pour en extraire des gaz, et même du pétrole (à Anticosti). Pour les Artistes pour la Paix, voici quatre raisons vitales pour conseiller à leurs six cents membres et amiEs de ne pas voter libéral, peu importe la circonscription où ils vivent.
Sur ces quatre questions, LE PARTI VERT, QUÉBEC SOLIDAIRE et OPTION NATIONALE présentent des choix sûrs. Pour le PARTI QUÉBÉCOIS, rappelons que dès le 21 mars 2011 Pauline Marois a pris courageusement position contre le nucléaire. Question amiante, le PARTI QUÉBÉCOIS propose peut-être une façon saine d’en finir une fois pour toutes avec son engagement d’une commission parlementaire. Soulignons que ce produit cancérigène a été clairement dénoncé par le docteur Réjean Hébert, possiblement futur ministre péquiste de la Santé.
Si la COALITION AVENIR QUÉBEC s’est prononcée résolument contre l’amiante, il n’en est hélas pas de même pour le nucléaire où François Legault ne remet en question ni le maintien en activité de sa seule centrale, ni l’exploitation minière d’uranium.
Rappelons enfin que la pollution nucléaire n’a pas de frontières, comme l’ont hélas illustré les désastres des centrales civiles de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011) et les retombées radioactives sur 67 ans d’essais atomiques militaires : de plus, l’éventuel uranium québécois exporté exposerait le pays à des milliards de $ en poursuites en cas d’explosion de bombe nucléaire étatique ou terroriste, quoique la nuance entre les deux nous échapperait alors. Nous rappelons cet opprobre qui s’abattrait sur de tels coupables au moment où le gouvernement conservateur israélien se désole de l’avance d’Obama contre Romney dans les sondages au point d’envisager, contre l’avis de son état-major et de son président Peres, une attaque contre l’Iran avant les élections américaines.
Pierre Jasmin
Professeur à l’UQAM
Vice-président des Artistes pour la Paix
Membre fondateur du Mouvement Sortons le Québec du Nucléaire
Membre des exécutifs de Pugwash et du Réseau canadien pour l’abolition de l’arme nucléaire
Admis au Cercle universel des ambassadeurs de paix (Genève)
En compléments :
Une réaction essentielle
« Merci pour le document. Vous y présentez bien ma position (vs amiante) ».
Professeur Réjean Hébert, MD MPhil
Faculté de médecine et des sciences de la santé, Université de Sherbrooke, Québec;
Médecin-conseil, Institut national de santé publique du Québec
Chercheur, Centre de recherche sur le vieillissement, Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke.
Deux références utiles, une sur le nucléaire, l’autre sur l’amiante :
1- http://artistespourlapaix.org/?p=1735
2- « Impossible, disent les épidémiologistes, d’utiliser l’amiante en toute sécurité. Un comité international demande que l’extraction et l’exportation de cette matière soient bannies. Par Rosanna Tamburri LIRE LA SUITE DE CET ARTICLE DANS AFFAIRES UNIVERSITAIRES DU 22 AOÛT SUR : http://www.affairesuniversitaires.ca/impossible-disent-les-epidemiologistes-dutiliser-lamiante-en-toute-securite.aspx
Reproduction de l’article chrétien féministe du Devoir
Élections – Faisons éclater le «plafond de verre»
28 août 2012
Nous sommes des citoyens de gauche, issus de toutes les générations. Quelques-uns d’entre nous sont membres du Parti québécois. D’autres sont membres de Québec solidaire ou d’Option nationale. Plusieurs n’appartiennent à aucun parti politique.
Une conviction fondamentale nous réunit : celle que les femmes peuvent avoir accès à toutes les fonctions dans la cité. Qu’elles doivent être traitées sur un pied d’égalité avec les hommes dans toutes les institutions et organisations. Qu’elles peuvent occuper des postes de leadership et de décision à tous les échelons du pouvoir dans la société. Pour nous, cela va de soi.
Le « double standard »
Force est toutefois de constater qu’un « plafond de verre » est toujours en place, au Québec comme ailleurs. C’est-à-dire qu’un blocage implicite, mais bien réel, limite encore l’accès des femmes aux plus hautes responsabilités. À compétences égales ou supérieures, ces dernières continuent trop souvent de subir ce qu’il est convenu d’appeler le « double standard » : on exige des femmes ou leur reproche des choses que nous n’avons jamais exigées des hommes ou que nous ne leur avons jamais reprochées.
C’est le cas de Pauline Marois. Diplômée en service social et en administration des affaires, en politique depuis plus de 30 ans, madame Marois a occupé à peu près tous les ministères de l’État, y compris ceux des Finances, de la Santé et de l’Éducation – en plus d’avoir été présidente du Conseil du trésor et vice-première ministre. Quelle autre personnalité politique, au Québec, peut prétendre à un tel degré d’expérience des rouages de l’État et de connaissance de la « machine gouvernementale » ?
Or, plutôt que de la juger au mérite de ses nombreuses réalisations (pensons seulement à sa création du réseau des Centres de la petite enfance) et de son parcours exceptionnel, on la critique et parfois même on la méprise pour des choses aussi superficielles que non pertinentes. Rien ne lui aura été épargné. On a dit qu’elle était trop riche et trop bourgeoise ; que ses bijoux étaient trop gros et ses foulards trop flamboyants ; que ses cheveux étaient trop blonds ou trop coiffés ; qu’elle était trop autoritaire ou trop conciliante ; qu’elle voulait trop le pouvoir ou qu’elle était trop maternante ; que son ton de voix était trop doux ou trop agressif… et quoi encore ?
Et l’on s’appuie sur ces prétextes pour affirmer péremptoirement qu’elle n’a pas la tête de l’emploi, qu’elle « ne passe pas », qu’elle n’a pas de charisme (François Legault en a-t-il ?) ou qu’elle n’est pas crédible (que dire alors de Jean Charest ?).
Bien sûr, Pauline Marois n’est pas parfaite. Et elle a pris, au cours de sa longue carrière politique, certaines positions ou décisions conjoncturelles avec lesquelles nous ne sommes pas tous d’accord. Oui, elle a commis des erreurs. Mais ce qui contraste avec les ego démesurés de ses opposants masculins, c’est qu’elle est souvent capable de l’admettre (comme cela a été le cas dans la malheureuse saga de l’amphithéâtre de Québec).
Autre signe de ce leadership humble et honnête : elle a rassemblé une équipe solide et ne craint pas de s’entourer de personnalités fortes et sans complaisance – on ne peut en dire autant de tous les chefs de parti.
Pauline Marois a traversé des crises et des tempêtes, où plusieurs la jugeaient « finie », avec une élégance et une capacité de résilience exemplaires, ce qui lui a valu le titre de « dame de béton ». Après tant d’années de service public, elle pourrait facilement s’offrir une retraite dorée et bien méritée. Au lieu de cela, elle continue de se consacrer à ce pays du Québec qu’elle aime. Eh oui, elle est indépendante de fortune – ce qui fait que, contrairement à un exemple connu, elle n’aura pas besoin de demander à son parti de lui verser un salaire supplémentaire.
Faisons l’histoire
Madame Marois est mûre, plus que n’importe qui d’autre au Québec, pour occuper dignement et avec compétence la plus haute fonction de l’État. Dans la conjoncture où les deux autres partis pouvant aspirer au pouvoir sont dirigés, d’une part, par Jean Charest (dont la crédibilité éthique et politique est réduite à néant) et, d’autre part, par François Legault (pouvez-vous identifier une seule réalisation marquante de la carrière politique de cet homme, qui dirige une troupe sans aucune expérience gouvernementale ?), eh bien, le choix s’impose ! Le Québec n’a pas les moyens de se passer d’une Pauline Marois qui, le 5 septembre au matin, est prête – avec son équipe – à gouverner le Québec avec intégrité et à faire le ménage dans la corruption.
Nous n’affirmons pas cela uniquement parce que madame Marois est une femme, mais bien parce que – répétons-le – parmi les trois chefs de parti susceptibles de prendre le pouvoir, elle est sans conteste la personne la plus compétente pour diriger le pays et assainir sa gouvernance.
Mais comme hommes, nous l’affirmons aussi pour une autre raison. Nous voulons vivre dans une société où nos mères, nos sœurs, nos filles, nos amies et les femmes que nous aimons puissent enfin se dire que, maintenant, tout est possible ! Il n’y a plus aucune fonction ni aucune responsabilité qui soit hors de leur portée. Et pour cela, nous voulons que Pauline Marois devienne la première femme à occuper le poste de première ministre du Québec, à la tête d’un gouvernement majoritaire (ou, si ce n’est pas le cas, avec la balance du pouvoir entre les mains d’Option nationale et de Québec solidaire).
Alors, le 4 septembre prochain, faisons plus que « du changement pour du changement ». Faisons l’histoire ! Faisons définitivement voler en éclats le fameux « plafond de verre ».
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Ont signé ce texte : Marco Veilleux (Montréal), Jean-Guy Olivier (Victoriaville), Matthias Rioux (Lévis), Louis-Charles Gagnon Tremblay (Gatineau), David Fines (Longueuil), Remy Nassar (Montréal), Jacques Lison (Gatineau), Michel Goudreau (Asbestos), Guy Rousseau (Trois-Rivières), Michel Rioux (Longueuil), Ghislain Bédard (Québec), Florent Villeneuve (Chicoutimi), Marcel Lebel (Montréal), David Boutin (Québec), Daniel Laliberté (Québec), Bernard Ménard (Trois-Rivières), Mario Jacques (Upton), Mourad Lemnadjlia (Montréal), Yves Côté (Montréal), Louis Poulin (Montréal), Yves Carrier (Québec), Mario Bellavance (Sorel-Tracy), Gilles Pilette (Saint-Lambert), Richard Chartier (Laval), Michel Champagne (Laval), Pierre Vaillancourt (Montréal), Erik Pirro (Montréal), Gilles Beaudry (Montréal), Érick Boucher (Montréal), Henri Adant (Rimouski), Roger Kemp (Trois-Rivières), Pierre Guénette (Montréal), Patrice Perreault (Granby), Raymond Gravel (Joliette), Jocelyn Lafond (Saint-Eugène-de-Grantham), Gilles Mandeville (Saint-Hyacinthe), René Hardy (Trois-Rivières), Claude Smith (Asbestos), Émile Duhamel (Salaberry-de-Valleyfield), Pierre Champagne (Danville), David Jacques (Montréal), Philippe Turcotte (Saint-Noël, Matapédia), Mario Bélanger (Québec), Jean Robitaille (Montréal), Loyola Gagné (Québec), Jean-Serge Baribeau (Montréal), Roberto Romero Martinez (Montréal), Marc-André Maher (Montréal), Martin Parent (Québec), Bruno Gagnon (Québec), Michel Beaudin (Longueuil), Louis-Philippe Lorion (Saint-Hubert), Jean-Claude St-Hilaire (Saint-Pierre-de-Broughton), Gérard Laverdure (Montréal), Patrick Ney (Saint-Hyacinthe), Gaston Bernier (Québec), Dominique Boisvert (Montréal), Dollard Bergeron (Québec), Alain Gagnon (Montréal), Jacques Fournier (Montréal), Philippe Alarie (Montréal), Pascal Grenier (Québec), Michel Denis (Longueuil), Gilles Sauvé (Montréal), Raymond Loranger (Trois-Rivières), Normand Breault (Montréal), René Lapointe (Chertsey), Gilles Leblanc (Trois-Rivières), Jean-Luc Hétu (Saint-Jérôme), Guy Bonin (Montréal), René Loranger (Saint-Romuald), André Gadbois (Laval), Pierre Bergevin (Sainte-Thérèse), Agustí Nicolau-Coll (Montréal), Lamphone Phonevilay (Montréal) René Chabot (Montréal), Gilbert Dubé (Montréal), Louis Fournier (Montréal), Eric Prince Tremblay (Boucherville), Karim Tamseddak (Montréal) , Jean Bellefeuille (Montréal), Pierre Jasmin (Magog), Gilles Pilon (Gatineau), Reynald Labelle (Gatineau), Gaston Bernier (Québec), Gérald Linteau (Chicoutimi), Raoul Lincourt (Montréal), Pierre Prud’homme (Montréal), Jocelyn Girard (Saguenay), Yvon Loranger (Trois-Rivières), André Rochon (Gatineau), Maurice Bouillon (Saint-Liboire), Éric Senécal (Montréal), Raymond Prud’homme (Val-Morin), Michel Seymour (Montréal), David Gaudreault (Saint-Camille de Bellechasse), Renald Mailhot (Gatineau), Jean-François Roussel (Montréal), Carl Tournier (Saint-Jérôme), Michel Couillard (Asbestos), Serge Cantin (Shawinigan), Normand Ménard (Saint-Hyacinthe), Pierre Favron (Montréal), Robert Comeau (Montréal), André Daoust (Montréal), Pierre Godin (Montréal), Gilles Léveillé (Montréal), Jean-Paul St-Germain (Montréal), Marc-André Tardif (Montréal), Jean St-Louis (Saint-Boniface), Gilles Lagacé (Gatineau), Robert Giroux (Lachenaie), Pierre Ouimet (Laval), Pierre Durand (Laval), Louis Duclos (Sainte-Pétronille), Mohand Tessa (Saint-Léonard), Bernard Hudon (Montréal), Philippe Bernard (Montréal), Bruno Demers (Montréal), Guy Roy (Kinnear’s Mills), Pierre Pilon (Saint-Hyacinthe), Roger Roy (Saint-Hyacinthe), Raymond Champagne (Trois-Rivières), Normand Caron (Saint-Faustin), Lucien Jutras (Saint-Hyacinthe), Yvon Goyette (Montréal), Jacques Lanctôt (Montréal), Rodolphe De Koninck (Montréal).
Pourquoi les partis tel que Option National, Le parti Vert et Québec Solidaire se dispersent autant ? Ne pourraient-ils pas se réunir et ne former qu’un seul parti. Les votes seraient probablement beaucoup moins divisés. Comment gagner une élection de cette façon là? Cela me désole.