Au nom du groupe d’étude de Los Alamos. La fin de l’invasion et de la guerre en Ukraine ne peut être garantie que si la sécurité de la Russie est elle-même garantie. La sécurité est largement indivisible. La sécurité d’un État nécessite la sécurité des autres, affirme le groupe d’étude de Los Alamos. Ce que veut le groupe d’étude : Nous voulons une paix négociée le plus tôt possible.
L’imagination de la rue et du contact humain
Deux propagandes militaristes s’affrontent, celle étanche policière de Poutine en Russie censure les informations mettant en doute l’avancée triomphale de ses troupes en Ukraine. Pour sa part, la propagande militariste occidentale claironne que si Poutine a attaqué, c’est à cause de la défense militaire affaiblie des pays de l’Europe et de l’Amérique du Nord. La première est pathétique, la seconde ridicule et les deux d’une naïveté consternante.
Lettre d’une amie russe
Une amie russe de notre APLP honoraire André Jacob nous autorise à partager cette lettre avec nos lecteurs.
HET BOйHE ! Non à la guerre ! 3e partie
De nouvelles images des manifestations contre la guerre en Ukraine, samedi et dimanche, partout sur la planète.
À quoi pourrait ressembler une sortie de crise ?
On voit à quel point la guerre en Ukraine est en train de perturber la logique journalistique quand on trouve dans un éditorial de Mathieu Bock-Côté, sociologue, auteur et chroniqueur de droite (!) l’opinion la plus sensée de nos médias.
Entrevue : Pierre Jasmin, Donald Cuccioletta et Robert Ismael sur Radio CPAM
Extraits de la discussion de Pierre Jasmin, Donald Cuccioletta et Robert Ismael sur Radio CPAM1410, le 4 mars à 18h, à l’émission Le Cabaret des idées.
Pour mettre fin à la guerre en Ukraine, il faut savoir comment empêcher les nouvelles guerres
Il faut imposer le cessez-le- feu immédiat en Ukraine. Armer l’Ukraine et adopter les dures sanctions annoncées contre la Russie ne font qu’accentuer et exacerber la guerre. Elles ne sont pas la solution pour la paix et pour « libérer » les Ukrainiens, mais l’instrument pour, avant tout, la défaite, voire la mort de la Russie par asphyxie économique et, subsidiairement, pour soumettre le devenir des Ukrainiens aux intérêts des Etats-Unis et des « puissances » européennes occidentales.
Marches d’espérances de paix le 6 mars
Il y a plus de trois jours, on vous parlait d’une négociation de paix entreprise à la frontière de l’Ukraine et de la Biélorussie. Reconvoquée le 2 mars, cette bonne nouvelle que nous tenons de Jocelyn Coulon interviewé à Radio-Canada n’est pas commentée par nos médias qui préfèrent parler des armes canadiennes qu’on croit utiles (!) à résoudre le conflit. La ministre Mélanie Joly au départ réticente fait de la surenchère.
Vote à l’ONU : 141-5-35 contre la guerre
Réunie en session d’urgence, l’Assemblée générale des Nations-Unies a voté en faveur d’une résolution « déplorant dans les termes les plus forts l’invasion russe en Ukraine » et exigeant « le retrait immédiat, complet et sans conditions » des troupes russes.
NON à la guerre en Ukraine !
La guerre d’agression lancée par la Russie contre l’Ukraine doit cesser immédiatement. De réelles négociations doivent s’engager en vue de garantir la non-expansion de l’OTAN à l’Ukraine et à la Géorgie et l’application des Accords de Minsk en guise de résolution de la guerre civile qui dure depuis 2014 en Ukraine.
27 février : Les Artistes pour la Paix espèrent une entente de paix
Comme presque tous les médias occidentaux interchangeables, Radio-Canada véhiculait hier la propagande d’une fiction romancée selon laquelle « l’Ukraine résistait en stoppant l’avancée des blindés et avions russes grâce à un effort héroïque du peuple à qui il fallait envoyer des armes ».
HET BOйHE ! Non à la guerre ! 2e partie
Déclaration de la Hamilton Coalition to Stop the War
Les États-Unis et l’OTAN ont eux-mêmes créé cette crise en balayant du revers de la main les demandes de la Fédération de Russie, qui se voulaient raisonnables, en lien avec deux projets de traités soumis le 21 décembre 2021. L’une des principales revendications concernait la neutralité de l’Ukraine et son engagement ferme de ne jamais adhérer à l’OTAN.
Déclaration Pugwash sur la guerre en Ukraine
La guerre en Ukraine représente un danger immense à l’intérieur de l’Europe, première intervention militaire russe significative en Europe en plus de cinquante ans. Après l’effondrement de l’Union Soviétique, la définition des frontières des états nouvellement indépendants s’est faite, pour la plupart, de façon constructive et pacifique, à l’exception significative de l’Arménie-Azerbaïjan et de la Géorgie.
L’Ukraine ne doit pas mourir… pour l’OTAN
Le 20 janvier dernier, avec Bianca Mugyenyi de l’Institut canadien de politique étrangère, Tamara Lorincz de la Canadian Voice of Women for Peace et le Canado-ukrainien Glenn Michalchuk, de la Peace Alliance Winnipeg, les Artistes pour la Paix avaient lancé un cri d’alarme commun au gouvernement canadien, relayé par l’Aut,Journal et Pressenza, de concert avec différents intervenants, dont Jocelyn Coulon du CÉRIUM.