Le Printemps érable au Québec pour moi, hier et aujourd’hui. Dix ans après, que sais-je au juste et que reste-t-il du Printemps érable qui s’est manifesté au Québec en 2012 ? Ce printemps érable a été pour moi celui de la rencontre de plusieurs mouvements de citoyens, avec et pas seulement autour de la grève étudiante concernant les frais de scolarité, que voulait imposer le gouvernement du Québec de l’époque.
La plus grande injustice
Je ne suis, comme la plupart d’entre nous qui sommes loin de l’Ukraine, ni un stratège militaire ni un spécialiste de géopolitique. J’assiste, impuissant, au massacre d’un peuple dont je ne connaissais presque rien et d’un pays qui serait l’enjeu d’une rivalité entre l’Europe et la Russie, qui voudrait faire partie de l’Europe qui n’en veut pas, et ne veut pas retourner à la Russie qui préfère le détruire plutôt que de le perdre.
Diplomatie non militariste
L’OTAN n’a pas besoin de plus d’argent, mais d’une nouvelle approche pour planifier un agenda COMMUN de sécurité. Le militarisme ne nous a jamais menés très loin.
Mario Dumont et la propagande de guerre
Mario Dumont s’est fait connaître en 1995 en joignant les voix de sa formation, l’Action Démocratique du Québec, à celles Parti Québécois de Jacques Parizeau pour appuyer le oui au référendum. Ses opinions se sont droitisées, ce qui est le cas d’à peu près tous les politiciens, mais sur les politiques du Québec, ses connaissances dépassent les miennes et jamais je ne chercherais à le confronter sur le plan économique, sauf pour dire que le budget de madame Freeland jeudi sera grevé de 20 milliards de $ pour de nuisibles F-35.
L’enjeu ukrainien est nôtre
Qui a lu même minimalement l’histoire de l’Ukraine (par exemple, à travers le roman extraordinaire de Eli Chekhman, EREV) ressent les souffrances, les déchirements, les combats plus que centenaires qui ont mené à leur miraculeuse démocratie.
La vérité est la première victime de la guerre
Le président russe, Vladimir Poutine, a entamé le 24 février dernier, une guerre en Ukraine. Alors que des frappes militaires se multiplient et avec elles le nombre de victimes et de personnes exilées, dénoncer l’invasion russe et sa violence inouïe est une évidence. Toutefois des clés d’analyse sont manquantes dans la couverture des grands médias pour bien comprendre les causes de ces événements et en saisir les enjeux, incluant la responsabilité de l’OTAN et du gouvernement de Kiev dans cette guerre.
Trois divers appels idéalistes à la paix
Le 15 mars, à l’intime Maison de la Culture Notre-Dame de Grâce rue Botrel, la dernière venue au conseil d’administration des Artistes pour la paix, l’autrice-interprète-compositrice Paule Tremblay, donnait dans le cadre d’une petite salle intime qui lui convenait parfaitement, son spectacle accueilli par de fervents et nourris applaudissements.
Commentaire sur les lendemains de misère qui nous guettent
Ce qui ressort des propos d’Einstein sur la guerre atomique et ce qui restera de nous et de l’humanité par la suite, si elle arrive, c’est une vision fort tragique du sort de l’humanité. Mais la bombe n’est pas le seul danger qui nous guette. Cette vision tragique de l’humanité, sans aucune référence à la bombe, a été aussi celle de Soljenitsyne dans « Une journée d’Ivan Dénissovitch ».
L’OSM annule les concerts du jeune pianiste russe Alexander Malofeev
Tel est le titre d’un article du journal Le Devoir du 9 mars. Aujourd’hui donc, je n’ai pas le cœur à la poésie, mais plutôt au désenchantement devant la confusion sur l’esprit de la guerre qui, en quelques jours, s’est imposée sans nuances, à la vitesse de l’invasion, partout dans les esprits, les cœurs… et les institutions, dont l’OSM. La culture de la paix n’est pas une utopie, mais un développement de la pensée à cultiver.
À quoi pourrait ressembler une sortie de crise ?
On voit à quel point la guerre en Ukraine est en train de perturber la logique journalistique quand on trouve dans un éditorial de Mathieu Bock-Côté, sociologue, auteur et chroniqueur de droite (!) l’opinion la plus sensée de nos médias.
27 février : Les Artistes pour la Paix espèrent une entente de paix
Comme presque tous les médias occidentaux interchangeables, Radio-Canada véhiculait hier la propagande d’une fiction romancée selon laquelle « l’Ukraine résistait en stoppant l’avancée des blindés et avions russes grâce à un effort héroïque du peuple à qui il fallait envoyer des armes ».
Nous sommes la paix, à nous de jouer
Partout, se lèvent des drapeaux blancs… La paix n’a qu’un nom, la paix. Le conflit sur le terrain de l’Ukraine se résoudra par la négociation vers la paix, ce mot qui résonne toujours comme la clé du mouvement d’une symphonie andante, loin du tintamarre des armes.
Justes milieux en Ukraine et chez nous
Volodymyr Zelensky déchiré par les extrêmes-droites. Dans le fond, le sort de l’Ukraine repose entre les mains de cet homme qui en pleine nuit du 21 au 22 février a réagi de façon extraordinairement mesurée par un discours d’à peine cinq minutes destiné à rassurer son peuple.
Silence de mort en Afghanistan
Selon l’ONU, 97 % de la population afghane vit présentement sous le seuil de la pauvreté. De ce nombre, 23 millions d’Afghans et d’Afghanes (55 % de la population) sont présentement à risque, menacés quotidiennement par la famine.
L’Ukraine – une Suisse du Nord – pourquoi pas ?
En ce jour le 8 février 2022, qui verra le président de la France et, pour six mois encore, président de l’Europe, rencontrer le président de l’Ukraine, au lendemain d’un marathon de paroles bien intentionnées au Kremlin, avec le président de la Russie, j’ai fait le rêve d’une Ukraine s’accordant et se voyant reconnue un statut de pays neutre.