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Richard Séguin et la Grande Nuit de la poésie

Le 20 août prochain, dans un désir de partage, Saint-Venant-de-Paquette, petit village de 98 habitants, ouvre grand les bras pour accueillir une fête des mots, un rassemblement gratuit qui fera place à 12 heures continues de poésie. Sous forme de chansons, karaokés, lectures, conférences et rencontres avec poètes et poétesses, ce petit bout de campagne des Cantons-de-l’Est brillera ainsi sous le ciel étoilé.

Message optimiste des Artistes pour la Paix

Pour la première fois depuis cinq ans, les postes de l’exécutif APLP sont comblés sans recours à un jumelage – deux postes pour une seule personne. On remarque d’abord le contraire avec deux personnes pour un même poste névralgique, qui plus est vacant depuis deux ans et demi : la co-présidence féminine (bravo!) avec deux membres de l’Union des Artistes, Sylva Balassanian, artiste engagée à la Maryvonne Kendergian, et Louise Marie Beauchamp.

Municipales engageantes pour un Québec féministe

Il reste une frange importante de la population réfractaire au féminisme dont elle ne comprend pas l’importance pour l’affirmation démocratique contre les boys’ clubs dominants : militaires et policiers (en proportions encore trop mâles), clergés de toutes les religions et sectes du monde et les survivants d’une période fédérale dominée par les politiciens machos, comme Denis Coderre, incapable de reconnaître l’étendue de la victoire de Valérie Plante qu’il voit comme issue d’ « une campagne sale ».

APLP 2021 – L’AGA du 7 septembre

Notre tant différée, cause pandémie, Assemblée Générale Annuelle s’est tenue devant une vingtaine de membres dans la soirée du 7 septembre. Notons cependant qu’il est toujours impressionnant de voir les Artistes pour la Paix réunis dans la belle salle de l’Atrium du Conseil des Arts du Canada, dans l’édifice Gaston-Miron (ancienne Bibliothèque centrale de Montréal), rue Sherbrooke, en face du Parc Lafontaine.

L’avènement simultané de trois femmes autochtones

Aujourd’hui 9 juillet 2021, la première autochtone nommée ministre de la Justice du Canada, Jody Wilson-Raybould, qui démissionna du gouvernement libéral sur une question de principe due à l’affaire SNC-Lavalin, annonce son retrait de la vie politique et « d’un Parlement devenu toxique », peu de jours après la démission de l’ex-ministre de l’Environnement Catherine McKenna.