Il s’agit de la cinquième frappe aérienne américaine en Somalie depuis le début de la présidence de Joe Biden, et la première en 2022. Le conflit en Somalie remonte à 2006, quand George W. Bush y entraîna les États-Unis. Par la suite, Donald Trump intensifia les bombardements pour dépasser, pendant ses deux premières années au pouvoir, le nombre de frappes ordonnées par Obama durant ses huit ans de présidence.
La raison invoquée par les États-Unis pour justifier la guerre en Somalie depuis plus de quinze ans est que « les organisations comme Al-Shabab représentent une menace à long terme pour les intérêts régionaux américains », selon AFRICOM. Le Congrès n’a jamais produit de rapport ni d’étude sur ce conflit qu’il continue de financer, année après année, sams autre forme de débat.
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