Selon al-Jazeera, le bureau de Madame Bachelet à Genève s’attend à rendre visite au Xinjiang au cours de la première moitié de l’année 2022. Selon le Hong Kong’s South China Morning Post, Beijing aurait accepté, à la condition que la visite soit “amicale” et non sous forme d’investigation. On sait que la Chine a demandé de reporter son rapport sur les droits humains après la complétion des Jeux Olympiques, où elle a choisi parmi l’élite des porteurs de la flamme olympique un skieur ouïghour.
L’Organisation internationale du travail ou OIT (en anglais ILO), fondée en 1946, est une agence spécialisée de l’ONU. Sa devise, si vis pacem, cole justitiam (« si tu veux la paix, cultive la justice »). Son rapport annuel exprima des préoccupations sur la situation d’emploi chez les minorités musulmanes en Chine qui semblent souffrir de mesures de coercition de la part de règlements et politiques communistes.
On est jusqu’à présent encore loin du rapport génocidaire de la CIA adopté par la Chambre des Communes canadienne et claironné par Amnistie Internationale et tous les médias occidentaux.
Dimanche le 20 février, le président du comité Olympique M. Thomas Bach a remercié la Chine pour son accueil magnifique pour des Jeux d’Hiver qui ont été un modèle de solidarité entre les peuples. Il a remercié tous les bénévoles symbolisant cet accueil avec leurs yeux qui reflétaient leur âme (une façon discrète de remercier les Chinois pour leurs sourires à peine cachés par leurs masques). Il a souhaité que toutes les Nations s’imprègnent de l’esprit olympique pour oublier leurs querelles alors que la Chine avait organisé une cérémonie où des chorales d’enfants et les accents de la Neuvième de Beethoven ont retenti pour souhaiter la paix universelle.