Dans le cadre de l’exposition de l’artiste André Michel, Nomades ou itinérants – Peuples en danger, plusieurs intervenants échangeront autour du concept de « foyer » et d’itinérance dans le contexte autochtone. Si la reconnaissance de la destruction délibérée des matrices domiciles, linguistiques et culturelles autochtones par le gouvernement du Canada est un début, de quelle(s) façon(s) peut-on s’occuper du problème de l’itinérance chez les Autochtones ?
Mercredi 22 août 2018 de 17 h à 19 h à l’Écomusée du fier monde
Modérateur : André Michel, peintre-ethnographe et président des Artistes pour la Paix
Intervenants :
- Vero Allaire, artiste photographe et intervenante psychosociale
- Carlo DeAngelis, agent de liaison autochtone, SPVM
- Louis Thomas Moisan, infirmier praticien spécialisé, Clinique Itinérance, CIUSSS Centre-Sud (Centre intégré universitaire de santé et de service sociaux)
- Bunny Paris, femme autochtone
Cette activité est gratuite. Veuillez réserver votre place au 514 528-8444 ou à info@ecomusee.qc.ca .
Table ronde organisée en collaboration avec La Maison amérindienne de Mont-Saint-Hilaire dans le cadre de l’exposition Nomades ou itinérants – Peuples en danger.
Écomusée du fier monde
2050, rue Amherst (angle Ontario)
Métro Berri-UQAM
Merci pour cet enthousiasme Par Artistes pour la Paix !http://wasabimon.com/
Tout rapprochement des Premieres Nations et les Québecois vers une reconciliation de respect et d’admiration est le bienvenu. Nous avons attendu longtemps avant d’agir. Nous sommes en plein dedans maintenant.
Enfin !
J’ai assister à l’inauguration, et la table ronde vers la fin de l’exposition. Forte interessante ma réaction aux magnifiques oeuvres de André Michel artiste, representation des itinerants/nomades à Montréal. Aujourd’hui, quand je les crois dan la rue, je les regarde comme des vedettes…
D’ailleurs ça rapproche mon sentiment voyant certaines des mêmes visages nous dévisager à la fin de l’excellent film de Denys Arcand, La chute de l’Empire Américain.
Erreur de frappe vers la fin : quand je les «croise dans» la rue
judi