25 février 2023, à 14 h
RASSEMBLEMENT au Complexe Guy-Favreau à Montréal
200 boulevard René-Lévesque ouest
(métros Place-des-Arts ou Place d’Armes)
Le 24 février prochain marquera la fin d’une année de guerre en Ukraine et le début d’une autre. Une guerre qu’on aurait dû tout faire pour empêcher et qu’on devrait maintenant tout faire pour arrêter.
Comme dans toutes les guerres, les impacts sont terribles : des dizaines de milliers de morts, des millions de personnes réfugiées et déplacées, des villes et villages complètement détruits, etc. Malheureusement, cette horreur ne semble pas près de finir. L’escalade se poursuit et, des deux côtés, on se prépare à une nouvelle offensive. Les pays de l’OTAN – États-Unis en tête et de loin! – fournissent à l’Ukraine des armes de plus en plus puissantes et efficaces, et un soutien généralisé à son « effort de guerre », tout en se disant constamment préoccupés de ne pas franchir « la ligne » d’un affrontement direct avec la Russie. On viserait supposément la victoire de l’Ukraine, incluant la reprise de la Crimée ou, à tout le moins, des avancées significatives dans cette direction pour que l’Ukraine négocie ensuite « en position de force »… Face à une Russie dotée d’une énorme armée et détenant 47 % des armes nucléaires dans le monde…
Nous devons, de toute urgence, mettre un terme à cette logique de guerre infernale et à ce pari hautement risqué et improbable. L’escalade de la guerre en Ukraine, c’est l’escalade de sa destruction et le risque d’une guerre nucléaire qui menace la survie même de l’humanité.
Le 25 février prochain, rassemblons-nous pour exiger de réelles négociations en vue de trouver une solution politique à cet affrontement. De réelles négociations, cela implique de prendre en considération les intérêts et perceptions des deux parties. Et ce n’est pas seulement l’Ukraine qui doit négocier avec la Russie. Ce sont aussi les États-Unis et l’OTAN. Il est urgent pour nous tous de mettre un terme à cette guerre!
D’autres actions dans le même sens s’organisent déjà ailleurs au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans d’autres pays occidentaux.
Le 25 février prochain, faisons entendre nos voix en grand nombre pour que le Canada cesse d’ajouter de l’huile sur le feu et appelle à des négociations !
Solidairement, contre la guerre et le militarisme,
Le Groupe de travail du Collectif Échec à la guerre
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